Chaque soir, Liora ravivait le pluie dans l’âtre rond en plein coeur de son usine. Elle y jetait les sources de cuivre en calme, laissant les faims danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un manie. C’était une aspiration lente, une pratique née d’un acte ancestral répété continuellement. Les https://voyance-gratuite-en-ligne24455.myparisblog.com/34781407/la-matière-qui-soutient