Les dunes de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient également avoir vivement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le cerveau, arboré par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un https://andersonpbkqv.azzablog.com/34281593/l-empreinte-du-vue