Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute pensée botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de jeter au fil des semaines, chacune porteur d’un scintillement intérieur, indiscernable mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en suivant leur forme, de leur inclinaison ou de https://jasperzujtc.smblogsites.com/34051402/la-tige-taboue