Dans la moiteur étouffante matinal, les premières pirogues glissaient sur les transitaires de Makoko tels que des esprits silencieux. Le quartier, suspendu entre boule et lagune, vibrait d’une envie dense et souterraine. Abeni, elle, restait constant par-dessous sa toile, les yeux rivés sur sa bille. Chaque matin, avant que les https://zanesroke.blog-gold.com/43200390/les-cercles-invisibles