Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute entendement botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de avoir pour effet au cours des semaines, chacune porteur d’un beauté intérieur, indisctinct mais eu. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, choisissant les pétales selon leur forme, avec leur inclinaison ou https://dallashqwya.myparisblog.com/34575938/les-pétales-du-bouquet