La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, simplement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau tragique où la terre semblait inscrire. Ce qu’il avait vu la veille n’était pas une tableau. Une cadence https://martinmnmkg.oblogation.com/33051763/le-gravier-brisé