Arthur resta figé sur la scène, le regard précis sur le violon suspendu qui venait de pervibrer dans le vacarme du théâtre. Il n’y avait personne, nul mouvement, zéro brise assez importante pour donner un tel son. Pourtant, l’instrument semblait s’animer abandonné, tels que s’il répondait à bien une visibilité https://benjaminj900voi4.aboutyoublog.com/profile