La nuit tombait doucement sur bordeaux, enveloppant les toits d’une défiance diffuse que seules les lanternes venaient mortifier par intermittence. Dans le silence de sa chambre, Éléonore Duprey fixait la seconde lettre posée devant elle, son regard oscillant entre inclination et transe. La voyance, qui jusque-là n’avait persisté pour elle https://juliuswywsq.eedblog.com/33685794/les-lettres-du-vétille